Interview alumni OMNIS : Léa ODION, cheffe de communication associative.
À seulement 28 ans, Léa ODION occupe aujourd’hui un poste de cheffe de communication associative. Un métier qui, selon elle, donne du sens autant à son engagement personnel qu’aux projets de l’organisation qu’elle représente.
Quel est ton parcours ?
Je m'appelle Léa ODION, j’ai 28 ans et je suis aujourd’hui cheffe de communication associative. Mon parcours n’a pas toujours été évident. J’ai commencé avec un BTS assistant de gestion, ce qui n’était pas vraiment le cursus que j’imaginais au départ. Comme beaucoup, après le bac, je n’avais pas toutes les clés pour faire un choix clair et construit. On nous demande de décider très tôt ce que l’on veut faire, alors qu’on ne se connaît pas encore vraiment.
Comment faire son choix d’orientation ?
À mon avis, la première chose à faire est de choisir la ville dans laquelle on veut étudier. L’environnement compte beaucoup. Ensuite, il faut chercher en fonction de ses envies, en tapant des mots-clés liés à ce qu’on aimerait faire, sans trop se mettre de barrières. C’est comme ça que j’ai découvert l’école Omnis, où j’ai poursuivi ma formation.
Et surtout : allez aux portes ouvertes ! Cela permet de ressentir l’ambiance, de voir si on s’y projette. C’est souvent ce petit ressenti qui fait la différence.
Qu’est-ce qui t’a marqué dans ta formation ?
Ce qui m’a le plus marqué pendant mes études, c’est sans doute le BDE (bureau des étudiants). Ils organisaient beaucoup d'événements organisés : des soirées et des activités internes... Il y avait une vraie dynamique de groupe, un esprit d’équipe, et beaucoup de souvenirs partagés. Ça m’a permis de tisser des liens forts et de vraiment m’épanouir dans la vie étudiante.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus aujourd’hui dans mon métier, c’est qu’il a du sens. Il m’en apporte à moi, mais aussi à l’organisation pour laquelle je travaille. Je me sens utile, alignée avec les valeurs que je défends. Et puis, chaque jour est différent. Il n’y a pas vraiment de routine, ni de règles figées.
Quelles sont les règles à connaître pour réussir ?
Pour moi, il n’y a pas de règle universelle. Ce qui compte, c’est de combiner le savoir-être et le savoir-faire. L’un ne va pas sans l’autre. Tout dépend aussi de l’entreprise dans laquelle on évolue. Il faut savoir s’adapter, écouter, comprendre l’environnement dans lequel on entre.
As-tu une anecdote à raconter ?
Oui, je me souviens d’un moment assez drôle avec mon professeur d’économie. J’habitais dans un petit village, et un jour, il avait neigé abondamment. Je ne pouvais pas venir en cours. Il m’a alors demandé un mot signé de mes parents pour prouver qu’il y avait bien de la neige ce jour-là ! C’est un souvenir qui me fait encore sourire aujourd’hui.
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